Contrairement à une légende tenace l’État français est loin d’être aussi intrusif qu’il y paraît
dans la gouvernance de Renault. C’est une constance, qui dépasse les clivages politiques.
Certes par ci par là, un ministre se rappelle que pour assembler des voitures il faut des
bras alors dans une indifférence générale il pousse une gueulante. Aujourd’hui le Ministre de
l’Économie « découvre » que le prêt de 5 milliards que sollicite Renault servira à fermer des
sites, dont l’emblématique usine de FLINS.
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