Pour quelles raisons alors même que Renault est l’actionnaire principal de Nissan, cette filiale pourrait-elle prendre le contrôle de sa société-mère ? Cosignataire de l’accord de stabilisation Monsieur Macron pourrait nous éclairer sur le sujet.
Pour quelles raisons alors même que Renault est l’actionnaire principal de Nissan, cette filiale pourrait-elle prendre le contrôle de sa société-mère ? Cosignataire de l’accord de stabilisation Monsieur Macron pourrait nous éclairer sur le sujet.
Le texte est une réécriture a minima de l’accord d’entreprise il comporte, par exemple, une disposition emblématique des revendications de la direction, la fin des 35 heures chez Renault
Quoi que nous en pensions il faut reconnaître que monsieur Carlos Ghosn est fortiche. La manière avec laquelle il a renvoyé à Carpentras son actionnaire de référence réviser ses bases était du costaud et du grand art (voir les épisodes précédents), mais que dire de la réécriture des accords d’Entreprise en particulier celui sur la […]
Que Carlos Ghosn soit un grand acteur de la vie économique est une évidence mais
Les annonces de la Direction faites dans le cadre du renouvellement de l’accord de compétitive virent à la caricature : Pour les sites français l’essentiel des contreparties émises par la Directions portent sur l’amélioration de l’ordinaire. Des investissements seraient engagés pour « améliorer la performance et l’environnement du travail », « robotiser » autrement dit supprimer des postes, voire pour […]
Monsieur Ghosn trouverait avantage à la mise en application du pacte de stabilisation soit à travers les résultats attribués à Nissan, soit à travers la sanctuarisation de ses rémunérations et de son statut au sein de Renault
La Direction s’est engagée dans l’accord de 2013 tout en sachant qu’elle pourrait ne pas faire les volumes prévus pour les sites français. Le choix pris par la Direction est d’abord de saturer en voitures les sites hors France. Le réalisé 2015 illustre ce fait, les sites espagnols et turcs en fonction de leurs moyens […]
Les synergies sont comme les trompe-l’œil sur les façades des immeubles : derrière il peut y avoir le pire ou le meilleur. L’instrumentalisation des synergies permet à Monsieur Carlos Ghosn de renforcer son pouvoir et de façonner l’alliance en diminuant l’influence du principal actionnaire, l’État français.
L’Ordonnance du 31 juillet 2014 impose au conseil d’administration de justifier de l’intérêt de la convention pour la société, en précisant notamment les conditions financières qui y sont attachées (dernier alinéa de l’article L. 225-38). Cette obligation est destinée à permettre aux actionnaires d’approuver, ou non, les conventions en connaissance de cause et la seule […]
Cette mise à l’écart de Renault n’est qu’un épisode de plus, elle ferait suite l’attitude de l’État actionnaire dans l’épisode de la résolution sur le vote double et la supposée perte de confiance ressentie par Monsieur Ghosn. Faut-il en accabler le Ministre de l’Économie, Emmanuel Macron ?